Surveillance à distance : Masimo relève le défi d’un suivi sécurisé « hors les murs »

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Surveillance à distance : Masimo relève le défi d’un suivi sécurisé « hors les murs »

Surveillance à distance : Masimo relève le défi d’un suivi sécurisé « hors les murs »

Assurer un suivi sécurisé et continu des patients, même audelà des murs de l’hôpital, grâce à la télésurveillance...C’est la réponse apportée par Masimo à certains défis majeurs du secteur hospitalier, tels que la pénurie de lits et de personnel soignant.


Une technologie éprouvée au service de la télésurveillance à domicile

Pour démontrer l’efficacité de cette approche, une étude publiée dans The Lancet Regional Health – Europe, menée en collaboration avec l’Institut Gustave Roussy, a évalué un programme de télésurveillance destiné aux patients atteints de cancer.

Résultats de l’étude :

  • 94,6 % des alertes concernant des symptômes graves ont conduit à une amélioration significative de l’état de santé des patients, deux semaines après leur déclenchement.
  • 88,4 % des patients ont constaté une évolution positive de leurs symptômes.
  • 87 % des professionnels de santé se sont déclarés satisfaits de l’intégration de cette solution dans leur organisation.

Ces résultats déjà prometteurs pourraient être encore améliorés grâce à une technologie robuste, reconnue dans le milieu hospitalier.


Masimo : des dispositifs hospitaliers adaptés au domicile

Basés sur la technologie d’oxymétrie Masimo SET® – validée par plus de 100 études cliniques, utilisée depuis plus de 30 ans, et aujourd’hui déployée dans la majorité des hôpitaux et cliniques – les dispositifs de télésurveillance de Masimo sont désormais disponibles en formats adaptés à l’usage à domicile :

  • Capteurs Radius PPG : dispositif sans fil mesurant la saturation en oxygène (SpO₂), la fréquence de pouls, la fréquence respiratoire et l’indice de perfusion périphérique.
  • Patch Radius T° : permet la mesure continue de la température corporelle.
  • Montre Masimo W1 : dispositif portable au poignet pour le suivi des constantes vitales.

« Nous ne faisons qu’adapter à l’usage à domicile des technologies déjà éprouvées à l’hôpital. Ce sont des solutions que nous maîtrisons, que nous utilisons depuis longtemps et pour lesquelles nous disposons déjà des autorisations nécessaires », explique Stéphane Bertolino, responsable de la télémédecine chez Masimo France.


Déploiement concret en France

Cette approche est déjà déployée sur le terrain dans plusieurs établissements hospitaliers en France :

  • À l’hôpital de Saint-Denis, dans le cadre d’une unité expérimentale de néonatologie mobile.
  • Au service HAD (Hospitalisation À Domicile) de l’APHM à Marseille.
  • À l’hôpital de Valenciennes.

Un protocole médical structuré : la clé du succès

Pour que la technologie soit efficace, elle doit reposer sur un protocole médical clair et transparent.

« La clé réside dans la définition d’un protocole médical clair, qui répond aux interrogations fondamentales des patients. En établissant précisément les modalités de surveillance et les procédures à suivre en cas d’alerte, le patient peut donner son consentement en toute liberté, en disposant de toutes les informations nécessaires », précise Stéphane Bertolino.


Suivi fiable, même à distance

Le protocole garantit un suivi continu, qualitatif et sécurisé, équivalent à celui de l’hôpital. Le patient est ainsi en lien permanent avec un réseau de partenaires prêts à intervenir :

  • numéros de secours,
  • infirmiers à domicile,
  • plateforme de télésurveillance hospitalière.

Les données du patient sont :

  • transmises en temps réel via Bluetooth vers son téléphone,
  • consultables directement dans une application dédiée,
  • envoyées sans interruption vers le tableau de bord clinique Masimo SafetyNet de l’hôpital.

Des alertes (email/SMS) sont générées automatiquement en cas d’anomalie, permettant une intervention rapide des soignants.


Et en cas de panne réseau ?

Même en cas de coupure du réseau électrique, le système continue de fonctionner en local grâce à la technologie Bluetooth.
Le patient peut continuer à s’autosurveiller, en attendant la reprise de la connexion, tout en étant accompagné par une infirmière ou en contactant les numéros d’urgence.