La traversée du Désert : quelles solutions apportées par la esanté ?
Le terme de « désert médical » est utilisé pour la 1ere fois par Bernard Debré le 11 avril 1991 à l’Assemblée Nationale. Le concept de désert médical, notion géographique, doit prendre en considération une nouvelle manière d’utiliser la technique et la médecine connectée.
La démographie médicale traverse une crise qui reflète le passage de relais entre deux générations de médecins. La féminisation de la profession est de plus en plus importante et les professionnels aspirent à une pratique plus équilibrée et saine. Le modèle du médecin traitant ne fait plus rêver.
D’autre part, le patient est mis au centre du système de soin et devient acteur de sa santé. Il participe, souvent avec intérêt, au développement de la télémédecine en comprenant les enjeux de cette nouvelle médecine.
Les 2 parties (patients-médecins) faisant route commune, le développement de la santé connectée part du principe fondateur du gagnant-gagnant.
Les solutions proposées par la télémédecine pour lutter contre les déserts médicaux sont devenues multiples et gagnent en efficacité. Le partenariat public-privé s’organise et les barrières de secteur tombent pour une médecine connectée transversale.
Une répartition optimale des efforts par mise en commun de moyens avec le DMP, remboursement de la téléconsultation, télésurveillance de pathologie chronique, guichet unique pour la prise en charge des professionnel du personnels soignant (mobilisation des centres médicaux des Armées, créations de maisons de santé, contrat de solidarité territoriale Médecin, délégation de soins aux infirmières, start up de remplacement professionnel ), HAD des acteurs du territoires : ARS, URPS, CDOM